dimanche, août 22, 2004

vendu

je viens de vendre mon coeur !!!

samedi, août 21, 2004

Alice au pays des merveilles 2

Les autres invités avaient profité de l'absence de la Reine pour se reposer à l'ombre; mais, dès qu'ils la virent arriver, ils se hâtèrent de reprendre la partie, tandis que Sa Majesté se contentait de déclarer qu'un moment de retard leur coûterait la vie.
Pendant tout le temps que dura la partie, la Reine n'arrêta pas de se disputer avec les autres joueurs et de crier: Qu'on lui coupe la tête! Qu'on lui coupe la tête! Ceux qu'elle condamnait étaient arrêtés par les soldats, qui, naturellement, devaient cesser d'être des arceaux pour pouvoir procéder aux arrestations; de sorte que, au bout d'une demi-heure environ, il ne restait plus d'arceaux, et que tous les joueurs, sauf le Roi, la Reine et Alice, étaient arrêtés et condamnés à avoir la tête coupée.
Alors la Reine s'arrêta, toute hors d'haleine, pour demander à Alice:
"As-tu déjà vu la Simili-Tortue?
- Non, je ne sais même pas ce qu'est une Simili-Tortue.
- C'est ce avec quoi on fait la soupe à la Simili-Tortue.
- Je n'en ai jamais vu ni entendu parler.
- En ce cas, suis-moi. Elle te racontera son histoire."
Tandis qu'elles s'éloignaient ensemble, Alice entendit le Roi dire à voix basse à toute la société: Je vous fais grâce. Allons, c'est parfait! pensa-t-elle, car le nombre des exécutions ordonnées par la Reine l'avait rendue très malheureuse.
Bientôt, elles rencontrèrent un Griffon qui dormait profondément, étendu en plein soleil.
"Debout, paresseux! cria la Reine. Amène cette jeune fille à la Simili-Tortue pour que celle-ci lui raconte son histoire. Il faut que j'aille m'occuper de quelques exécutions que j'ai ordonnées."
Sur ces mots, elle s'éloigna, laissant Alice seule avec le Griffon. L'aspect de cet animal ne plaisait guère à la fillette, mais elle se dit que, après tout, elle serait plus en sécurité en restant près de lui qu'en suivant cette Reine féroce: c'est pourquoi elle attendit.
Le Griffon se leva et se frotta les yeux; puis il regarda la Reine jusqu'à ce qu'elle eût disparu; puis, il se mit à rire tout bas.
Ce que c'est drôle! dit-il, autant pour Alice que pour lui-même.
"Qu'est-ce qui est drôle?
- Mais, elle, voyons. Tout ça, elle se l'imagine: en réalité, y a pas jamais personne d'exécuté. Arrive!"
Tout le monde ici me dit: 'Arrive!' , pensa Alice, en le suivant lentement. Jamais de ma vie on ne m'a fait pivoter comme ça, jamais!
Ils n'étaient pas allés bien loin lorsqu'ils aperçurent la Simili-Tortue à quelque distance, assise triste et solitaire sur une petite saillie rocheuse, et, à mesure qu'ils approchaient, Alice pouvait l'entendre soupirer comme si son coeur allait se briser.
Quelle est la cause de son chagrin? demanda-t-elle au Griffon, le coeur plein de pitié.
Et il répondit, presque dans les mêmes termes qu'il avait déjà employés:
"Tout ça, elle se l'imagine: en réalité, elle a pas aucun motif de chagrin. Arrive!"
Ils allèrent donc vers la Simili-Tortue, qui les regarda de ses grands yeux pleins de larmes, sans souffler mot.
"C'te jeune demoiselle qu'est ici, expliqua le Griffon, elle a rudement envie que t'y racontes ton histoire, pour sûr que oui!
- Je vais la lui raconter", répondit la Simili-Tortue d'une voix caverneuse. "Asseyez-vous tous les deux, et ne prononcez pas une seule parole avant que j'aie fini."
Ils s'assirent, et personne ne parla pendant quelques minutes. Alice pensa: Je ne vois pas comment elle pourra jamais finir si elle ne commence pas. Mais elle attendit patiemment.
"Autrefois", dit enfin la Simili-Tortue en poussant un profond soupir, "j'étais une vraie Tortue".
Ces paroles furent suivies d'un long silence, rompu seulement par un "Grrrh!" que poussait le Griffon de temps à autre, et par les lourds sanglots incessants de la Simili-Tortue. Alice fut sur le point de se lever en disant: "Je vous remercie, madame, de votre intéressante histoire", mais elle ne put s'empêcher de penser qu'il devait sûrement y avoir une suite; c'est pourquoi elle resta assise sans bouger et sans souffler mot.
"Quand nous étions petits", reprit finalement la Simili-Tortue d'une voix plus calme, mais en poussant encore un léger sanglot de temps en temps, "nous allions à l'école dans la mer. La maîtresse était une vieille Tortue de mer... nous l'appelions la Tortue Grecque...
- Pourquoi l'appeliez-vous la Tortue Grecque, puisque c'était une Tortue de mer? demanda Alice. J'ai lu quelque part que la Tortue Grecque est une Tortue d'eau douce.
- Nous l'appelions la Tortue Grecque parce qu'elle savait le grec", répondit la Simili-Tortue avec colère. "Vraiment, je te trouve bien bornée.
- Tu devrais avoir honte de poser une question aussi simple", ajouta le Griffon.
Après quoi, tous deux restèrent assis en silence, les yeux fixés sur la pauvre Alice qui aurait bien voulu disparaître sous terre.
Enfin le Griffon dit à la Simili-Tortue:
"Dégoise la suite, ma vieille! Tâche que ça ne dure pas toute la journée!"
Et elle continua en ces termes:
"Oui, nous allions à l'école dans la mer, quoique cela puisse te paraître incroyable...
- Je n'ai jamais dit ça!" s'exclama Alice en l'interrompant.
"Si fait, tu l'as dit! répliqua la Simili-Tortue.
- Tais-toi!" ajouta le Griffon, avant que la fillette ait eu le temps de placer un mot.
Après quoi, la Simili-Tortue reprit la parole:
"Nous recevions une excellente éducation; en fait, nous allions à l'école tous les jours...
- Moi aussi, dit Alice. Vous n'avez pas besoin d'être si fière pour si peu.
- Il y avait des matières supplémentaires, à ton école?" demanda la Simili-Tortue d'un ton un peu anxieux.
"Oui, nous apprenions le français et la musique.
- Et le blanchissage?
- Sûrement pas!" dit Alice avec indignation.
"Ah! dans ce cas, ton école n'était pas fameuse", déclara la Simili-Tortue d'un ton extrêmement soulagé. "Vois-tu, dans notre école à nous, il y avait à la fin du prospectus: 'Matières supplémentaires: français, musique, et blanchissage.'
- Vous ne deviez guère en avoir besoin, fit observer Alice, puisque vous viviez au fond de la mer.
- Je n'avais pas les moyens d'étudier les matières supplémentaires", répondit la Simili-Tortue en soupirant. "Je ne suivais que les cours ordinaires.
- En quoi consistaient-ils?
- Pour commencer, bien entendu, Rire et Médire; puis, les différentes parties de l'Arithmétique: Ambition, Distraction, Laidification et Dérision.
- Je n'ai jamais entendu parler de la 'Laidification'. Qu'est-ce que ça peut bien être?"
Le Griffon leva ses deux pattes pour manifester sa surprise.
"Comment! tu n'as jamais entendu parler de laidification! s'exclama-t-il. Tu sais ce que veut dire le verbe 'embellir', je suppose?
- Oui", répondit Alice, qui n'en était pas très sûre. "Ça veut dire... rendre... quelque chose... plus beau.
- En ce cas, continua le Griffon, si tu ne sais pas ce que c'est que "laidifier", tu es une idiote fieffée."
Ne se sentant pas encouragée à poser d'autres questions à ce sujet, Alice se tourna vers la Simili-Tortue, et lui demanda:
"Qu'est-ce qu'on vous enseignait d'autre?
- Eh bien, il y avait l'Ivoire, répondit la Simili-Tortue en comptant sur ses pattes, l'Ivoire Ancien et l'Ivoire Moderne, et la Mérographie. Puis, on nous apprenait à Lésiner... Le professeur était un vieux congre qui venait une fois par semaine: il nous apprenait à Lésiner, à Troquer, et à Feindre à la Marelle.
- Comment faisiez-vous ça: 'Feindre à la Marelle'?
- Ma foi, je ne peux pas te le dire, car je l'ai oublié. Quant au Griffon, il ne l'a jamais appris.
- Pas eu le temps, déclara le Griffon. Mais j'étudiais les classiques avec un vieux professeur qu'était un vieux crabe.
- Je n'ai jamais pu suivre ses cours", poursuivit la Simili-Tortue en soupirant. "On disait qu'il enseignait le Patin et la Greffe.
- Et c'était bien vrai, oui, bien vrai", affirma le Griffon, en soupirant à son tour.
Sur quoi les deux créatures se cachèrent le visage dans les pattes.
"Et combien d'heures de cours aviez-vous par jour?" demanda Alice qui avait hâte de changer de sujet de conversation.
"Dix heures le premier jour, répondit la Simili-Tortue, neuf heures le lendemain, et ainsi de suite en diminuant d'une heure par jour.
- Quelle drôle de méthode! s'exclama Alice.
- C'est pour cette raison qu'on appelle ça des cours, fit observer le Griffon: parce qu'ils deviennent chaque jour plus courts"
C'était là une idée tout à fait nouvelle pour Alice, et elle y réfléchit un moment avant de demander:
"Mais alors, le onzième jour était un jour de congé?
- Naturellement, dit la Simili-Tortue.
- Et que faisiez-vous le douzième jour?" continua Alice vivement.
"Ça suffit pour les cours", déclara le Griffon d'une voix tranchante. "Parle-lui un peu des jeux à présent."


mercredi, août 18, 2004

à vendre

...je passais dans la rue et je l’ai croisé c fou combien il me manque, je l’ai embrassé de toutes mes forces en ne prononçant aucun mot et je part après l’avoir regardé longtemps dans les yeux..c ridicule je sais ! ! mais ça m’arrive des fois d’imaginer des choses utopiques qui ne se réaliseront jamais , je vis dans le souvenirs de quelques discussions inoubliables dont je me libérerais un jour , enfin bref je dirais juste qu’il me manque...
les requins s’entrebattent sous le regard de tous le monde là où je travaille, la guerre froide quoi ! ça devient insupportable , ce qui m’énerve le plus c que ces personnes mêlent leurs vies personnelles à leurs vies professionnelles , ils croient être un exemple . En fait sur le plateau c comme la politique ici ,mise à pied et FPE pour ceux qui sont pas d’accord mais bon moi je viens travailler et je rentre lorsqu’il est temps de rentrer chez moi, me consacrant entièrement à mes propres problèmes, les études , les problèmes de familles , de cœur et tout ça , les mûrs qui sont entrain de se bâtir qui leurs tomberont certainement sur la tête un jour , mais ma vie ne s’arrête pas là !

C la période des soldes , et après ces mois d’été qui ont étaient bénéfiques pour certains et fatiguants, decevants pour d'autres on jette nos fringues, on s’en débarrasse , ou on les garde précieusement même si on sait que ça ne sera plus à la mode, ça nous rappellera des souvenirs qu’on n’a pas envie d’oublier , mais bon les soldes c toujours la bienvenue pour certains ,moi à cette période de solde je vend mon cœur, c vrai que je veux le vendre à n’importe quel prix, je le vend malgré que c mon cœur, je le vend parce que je n’ai plus rien à lui proposer , peut être qu’une autre personne saura mieux s’en occuper , vous ne le trouverez jamais exposé dans une vitrine parce que c mon cœur et parce qu’il est unique , offre très intéressante peut être , le plus intéressant pour moi est de se débarrasser de ce cœur avec ses fardeaux et ses problèmes et cette quantité d’oxygène qu’il lui faut , je sais qu’il va me manquer malgré que rester sans cœur ça va me faciliter les choses et la vie , j’y tiens mais parfois c pénible de le supporter alors j’ai décidé de le vendre puisqu’il sert plus à rien ...mon coeur! !



samedi, août 14, 2004

la faute est humaine

Je suis là, après tout ce temps, je sais j'aurais dû faire un signe de vie , une longue période d'absence ..Pas vraiment longue mais bon ça peut être long pour certains, malgré les déceptions qui se succèdent je suis toujours là souriante optimiste, c pas pour ça que je n'ai pas posté ces derniers temps, c pas que je ne trouvais pas les mots cette fois mais c'était le temps qui me manquait mais bon j'ai réussis à avoir quelques petites minutes pour parler de l'automne qui vient tôt cette année...nan ......
C’était prévu que je me rende aux fiançailles d'une trés chère collègue, loin d'être superstitieuse elle a choisit la date du vendredi 13, ma journée a commencé lorsque j'ai ouvert les yeux ce matin bien évidement, c Micha qui m’a réveillé, il était entrain de jouer avec mes cheveux enfin il était entrain de me tirer les cheveux, reveil difficile parce que j’ai veillé un peu tard la nuit d’avant , la tête qui tourne ,je suis partie me laver le visage ,quelques petites secondes le temps de se regarder dans la glace, moi dans mon pyjama , gracieuse à peu prés comme un clown , avec des cheveux tirés! j’ai préparé mon café et! et! et! sans faire exprés , j’ai marché sur la queue de Micha qui a poussé un cri effroyable , lui dont j’entends pratiquement jamais la voix , un cri qui m’a finalement bien réveillé , un « réveil Michatique » terrible ,je me suis excusé auprès de Micha qui n’a pas l’air de m’avoir pardonné,j’ouvre les persiennes une journée chaude s'annonce, mon café dans une main et dans l’autre le courrier je pense à ce que je vais faire de la journée, je vais la passer chez mes parents, ma mère ne travaille pas aujourd’hui m’a invité a déjeuner , je traîne dans la maison comme d’habitude , essayant de ranger mes affaires éparpillés , j’ai fouillé dans ma garde robe pour choisir ce que je vais mettre ce soir , ma robe bleu , ma robe rouge ou la noir , j’ai passé des heures pour faire mon choix et oui ça c moi ( et si je met la robe rouge , non la noir c mieux , noir non quand même , la bleu est plus belle ) avec une envie de les mettre toutes en même temps , ça aurait pu être facile si ma mère était là mais bon je vais mettre la robe bleu, j’espère que je ne vais pas changer d’avis … en bleu en rouge ou en noir je serais la plus belle -une tite touche de modestie ne feras de mal a personne ;-)) en plus c vrai!!

j’ai lavé ma voiture , j’ai donné à manger à Micha qui a disparu quelques minutes , et je suis partie chez mes parents qui m’attendaient , mon père feuilletant le journal sur le canapé ma mère dans la cuisine me préparant mon plat préféré , j’ai salué tout le monde , on a parlé de choses et d’autres , je me suis installée ensuite pas très loin de mon père qui lisait attentivement le journal …après quelques instants de silence :
-Papa
-oui
- j’n’aime pas les blondes
-pourquoi?
- je ne les aime pas et puis c tout …je n’aime pas les brunes non plus
-et alors ?
-j’ai fait la course avec un oiseau hier sur l’autoroute il volait à coté de le voiture et j’ai gagné
-tu étais en voiture alors
-oui
-tu étais en voiture c normal que tu gagnes.
La réponse de mon père m’a un peu déçu mais j’ai continué :
-j’ai pas gagné parce que j’étais en voiture mais c que le tit oiseau n’était pas au courant qu’on faisait la course parce qu’au lieu d’aller tout droit il a tourné à gauche me laissant continuer toute seule
-l’essentiel est que t’a gagné
- c ce que je me suis dit (avec un sourire très large sur les lévres) mais bon j’ai pas vraiment gagné puisque j’étais en voiture
-on va dire que t’as gagné..c quoi cette histoire ? Changeant de sujet ….

On a déjeuné , c’était très bon , des discussions plus intéressantes dans la salle à manger , une petite sieste pour avoir bonne mine , j’ai mis ma robe rouge finalement et je me suis rendue aux fiançailles et j’ai trouvé mes collègues ceux que j’aime le plus et même ceux que j’aime le moins ……..

jeudi, août 05, 2004

perfection

je suis en quête de moi même , c pas nouveau je sais mais je crois que je ne me suis jamais trouvée ,je fais des efforts vains peut être mais ça vaut la peine je crois , je reussirais un jour tout de même à me retrouver , à comprendre ce que je veux et à aller jusqu'au bout de mes rêves ,je ne sais pas si c ça le problème , a premiére vue y a pas de problème , je vis , j'ai des amis que j'aime bien , j'ai un chat bisexuel je crois parce que je l'ai surpris dernièrement en flagrant délit mais bon il fait ce qu'il veut de sa vie ,enfin ma vie n'est pas mal aprés tout , peut être que c juste moi qui a pris l'habitude de se lamenter tout le temps , à dire que je suis fatiguée et tout or c pas tout à fait vrai , c possible , tout à l'air d'aller bien mais bon y a quelque chose qui me manque et que j'arrive pas à me procurer ,je me dis que c pas la fin du monde et que c pas grave et je continue à envoyer des mails ridicules à dire n'importe quoi .... vous savez lorsque les mains s'élèvent au ciel , les yeux humides déséspérés se dérigent vers le ciel aussi, cherchant un but , quelque chose ou quelqu'un , attendant une nouvelle , une chose qui pourra peut être tout changer , je me dis que tout est presque parfait dans ma vie ou pas vraiment le cas , qu'il faut quelque chose d'un peu compliqué sinon je vais trouver ma vie un peu ennuyante et monotone , menfin bon rien n'est parfait .

j'ai rien fait de la journée , je suis sortie avec Basma parce que j'avais des courses à faire ,il a plut aujourd'hui violement ça m'a fait du bien , je suis rentrée vite et ça m'a donné envie de pleurer , je regardais par la fenêtre les personnes qui passaient , mes voisins , et la pluie qui tombait , ça m'a fait drôle de voir tout ça ,un collégue viens de partir , on a discuté de beaucoup de choses ,bien qu'il soit un peu superficiel et que moi en ces instants je me sens superficielle la discussion était "trés intéressante" il a voulu qu'on sorte boire un café , mais j'étais un peu fatiguée pour accepter , je l'ai deçu je crois mais bon c pas nouveau ça .

lundi, août 02, 2004

><(((°>

Je suis rentrée hier soir vers 22 h , et ça me manquait tellement de poster mais bon je ne sais pas si c les mots me fuyaient hier ou bien c moi qui se trouve incapable de les regrouper , je notais des paragraphes et je les effaçais , c pas que je ne sois pas inspirée ,mais je crois qu'un peu fatiguée j'ai pas trouvé les mots justes pour exprimer ma joie , ma tristesse , ma solitude et mon désarroi , c vrai qu'une semaine c peu pour se reposer surtout si on travaille chez noos ,une semaine pleine de d'événements , de rencontres , de souvenirs ,de confessions et de remise en questions aussi , sur tout ce qui s'est passé ces derniers mois , voir où j'en suis , voir où je me suis située , ou dire plutôt où les évènements et les gens m'ont jeté , le bilan n'était pas vraiment satisfaisant ..
J'ai toujours détesté dépendre de quelque chose ou de quelqu'un quelque soit le contexte c pourquoi je cherche une solution quelqu'elle soit , je sens que tout dépend de lui en fait même mes choix et mes décisions , et dans ce genre de cas la solution n'est pas toujours evidente ou dire plutôt c pas vraiment evident de trouver une solution ...
Ce qui me gêne particuliérement au delà des sentiments que j'éprouve envers lui c que je sens qu'il m'appartient des fois , je l'imagine entrain de lui tenir les mains , entrain de l'embrasser et ça me rend folle , et qu'en même temps je sais au fond de moi qu'il faut lui foutre la paix , le laisser vivre sa vie comme il a choisit de la vivre , je sais que pour lui c fini , je ne sais pas s'il pense à moi des fois ,et trés franchement je suis trés fatiguée de porter ces faux espoirs sur le dos comme une idiote , je crois déjà que cette histoire est allée un peu loin malgré que je voulais tellement tellement que ça marche , malgrés que j'étais prête à décrocher les étoiles s'il me les demandait.
Une balade au bord de la mer avant hier vers 2 h du mat avec un ami trés "parfait" qui plait à ma maman et qui dit qu'il est fou de moi , on a même fait la course , c lui qui a gagné parce qu'il a triché , il m'a pris dans ses bras , m'a porté , et il m'a jeté dans l'eau....sympa la soirée mais j'aurais préféré être seule avec David à cet endroit trés calme pour partager cette sensation agréable ,je vais lui déclarer ma flamme ,je lui prendrais les mains et nous ferons la course peut être ...